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L'image présente une montagne recouverte de neige, avec des pentes et une vallée visible. La perspective est tournée vers le bas depuis un point de vue élevé, offrant une vue du territoire montagneux blanc. Il n'y a pas d'écrits visibles ni de marques distinctives dans l'image qui puissent être décrites sans le contexte des environs. Le palette de couleurs est dominée par la blanc (neige) et le gris (roches et ombres probablement), avec des indices bleus possiblement provenant du ciel qui pénètre à travers les fissures du sommet de la montagne. L'esthétique de l'image semble être une photographie, en capturant la scène naturelle. C'était une matinée de printemps glacial quand Maria sortit de sa cabane et s'emmitoufla sur le porche couvert de neige. Elle inspirait profondément, sentant l'air froid pénétrer ses poumons tandis qu'elle regardait à l'avance la vue époustouflante qui se dévoilait devant elle. Le soleil venait de lever au horizon et jetait une lumière pâle sur le versant du montagne. Lorsqu'elle regardait en bas depuis son point de vue élevé, les yeux de Maria étaient attirés par les pentes majestueuses de la montagne recouverte d'une couche épaisse de neige qui semblait s'étendre à l'infini. Le paysage se déployait comme un tableau de blanc et de gris, avec des roches petites et des ombres visibles uniquement lorsque la lumière les touchait juste. Elle se sentait comme si elle se tenait sur le sommet du monde, le vent lui faisant faire fuir ses longues cheveux bruns tandis qu'elle prenait dans l'ensemble de la vue impressionnante. À distance, le ciel se dévoilait à travers les crevasses du sommet de la montagne et projetait une lumière éthérale sur tout le paysage. Maria avait toujours adoré ce lieu – c'était là qu'elle allait pour s'échapper des stress quotidiens de la vie quotidienne et se reconnecter avec la nature. Elle avait passé des heures infinies à explorer ces montagnes en enfant, apprenant les secrets du forêt à son grand-père sage. Lorsqu'elle se tenait là, prenant le paysage de la neige recouverte du montagne, Maria ressentit un sentiment de paix qui l'envahit. C'était comme si tous ses soucis s'étaient dissous comme les floconnets de neige qui dansaient dans l'air. Elle ferma les yeux et laissa le silence enveloper elle, en écoutant le son du vent qui caressait les arbres. Le monde semblait se tenir à bonne voie, attendant quelque chose – tout ou rien – à se produire ensuite. Et alors qu'elle ouvrit de nouveau ses yeux, Maria vit : un faible chemin de pieds recouvert de neige s'étendant du sommet de la montagne, se déroulant comme une ceinture luisante d'étoiles dans le forestier comme un ruban d'un fil lumineux. Elle sentit une frisson courir le long de son dos en réalisant qu'il y avait quelqu'un d'autre là avec elle – quelqu'un qui partageait la même affection pour la nature et la solitude. Le cœur de Maria commença à battre plus vite lorsqu'elle se demanda qui c'était : un randonneur, ou peut-être une âme perdue comme elle. Quoi qu'il en fût, elle savait qu'elle devait découvrir davantage sur ces mystérieux pas de pied, et voir d'où ils allaient la laisser partir.