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Une échelle menant à l'intérieur d'une masse d'eau, probablement de la mer ou de la mer donnent présence d'algues et de l'environnement aquatique. L'eau apparaît calme avec une teinte vert bleue pourrie qui suggère qu'elle pourrait avoir un légère algalie qui est courante dans les eaux côtières pendant les mois plus chauds. Il n'y a personne ni animaux visibles au sein du cadre, ce qui donne à la scène une atmosphère calme et immobile. Le rail de l'échelle en métal est clairement visible à chaque côté, fournissant un moyen d'entrée dans l'eau. La surface entourant l'eau ressemble comme si c'était une plage sablonneuse ou une bordure rocheuse, indiquant que cette pourrait être une entrée publique pour le plongeon ou la snorkeling. Je me tenais debout à la fin de la falaise, regardant vers l'horizon de l'eau turquoise, mes yeux se sont posés sur l'échelle menant en dessous de ses profondeurs. Le rail métallique brillait dans les premiers rayons du soleil, une présence utilitaire qui démentissait la paix de la scène devant moi. Je l'avais toujours été attiré vers ce point, niché entre deux rochers surrondés par la côte. C'était comme si l'océan avait englouti la terre, laissant seulement une échelle et un étendu bleu-verdâtre s'étendant à l'infini. Les rochers recouverts d'alga étaient penchés doucement par le courant, leurs fines feuilles ondulant comme les algues dans une danse sous-marine. Je sentis frissonner sur mon échine en regardant l'écume des profondeurs. C'était calme et immobile, avec seulement de rares ondes agitant son surface. La couleur verte-verdâtre était incontestable – un signe des blooms algales du printemps qui prospéraient dans ces eaux. Mais malgré les signes de vie sous le sein d'eau, il n'y avait aucune trace de mouvement ou d'activité au-dessus. Je sentis un sentiment de paix s'emparer de moi en me tenant debout là, mes pieds ancrés au sol. C'était comme si le monde ralentissait et que tout ce qui existait était ce moment, suspendu dans le temps comme une goutte d'eau sur un filet de spider. L'échelle semblait m'appeler, son rail métallique s'étendant vers l'eau comme une osse de fantôme. Je pris un pas en arrière, mes yeux ne quittant jamais la scène devant moi. J'éusurai un sentiment d'admiration pour la beauté de ce lieu – comment les rayons du soleil dansaient sur les vagues, projetant une lueur scintillante sur tout. C'était comme si j'avais tombé dans un monde secret, caché à l'extérieur de l'humanité par une force inconnue. En me tenant là, perdu dans la paix de la scène, je sentis mes préoccupations et mes craintes commencer à s'échapper comme du sable entre mes doigts. L'échelle semblait m'appeler encore, son rail métallique grincer doucement au vent comme un murmure doux. C'était comme si elle savait que j'étais attiré vers ce lieu et l'invitait à descendre dans ses profondeurs. J'hésitai un instant, mon cœur battant à tout rompre d'excitation. Et puis, sans réfléchir, je pris un autre pas en arrière – et commençai à me diriger vers l'échelle, vers la calme de l'océan en dessous. L'eau se referma sur mon crâne comme une toile morte, m'enveloppant dans ses profondeurs bleu-verdâtres. Alors que je descendais plus profondément, je sentis un sentiment de liberté me revivre. C'était comme si j'avais dépassé ma peau et était reborni dans ce monde aquatique. Les rochers recouverts d'alga se brouillaient en arrière de moi comme une tunnel bleu-verdâtre, leurs feuilles fines ondulant doucement par le courant. J'étais tombé en plongeant, en bas, en bas et encore plus profondément, la mer me pressant d'asseautir à partir de tous côtés. Et pourtant, je sentais une pression – pas seulement un sentiment incroyable de paix et de calme. C'était comme si j'avais trouvé mon foyer véritable, caché sous le sein du grand et mystérieux océan. Alors que j'étais en train de descendre plus profondément, l'univers au-dessus commençait à s'estomper et se perdant à l'horizon. Et puis, dans la ténèbre en dessous, je sentis une appartenance – un sentiment d'avoir enfin trouvé où j'étais censé être. L'osse de fantôme de l'échelle s'estompa dans la distance, une présence métallique qui disparut lorsque je me réfugiai dans mon nouveau foyer. J'y restai suspendu, ancré au silence de l'océan, sentant le poids du water sous moi. Et comme j'étais en train de flotter sur la courant, je savais que je ne pourrais jamais partir – car cette mer avait mises ses griffes dans mon cœur et était à moi pour toujours.