Landscape désertique. Il y a une étendue de terrain sec, herbacé qui s'étend jusqu'à l'horizon, avec un faible mélange de buis et d'arbustes bas. Une route de terre coupe à travers le plan de travail, en direction des roches rouges à distance, qui ressemblent aux parois de canyon ou aux mesas typiques de milieux arides. Le ciel au-dessus est clair, ce qui suggère qu'il pourrait être soit le début de la matinée, soit la fin de l'après-midi en raison du lumineux et doux éclairage qui baigne la scène. Il n'y a aucune inscription, panneau ou marques visibles sur l'image.. 12th March 2025
Landscape désertique. Il y a une étendue de terrain sec, herbacé qui s'étend jusqu'à l'horizon, avec un faible mélange de buis et d'arbustes bas. Une route de terre coupe à travers le plan de travail, en direction des roches rouges à distance, qui ressemblent aux parois de canyon ou aux mesas typiques de milieux arides. Le ciel au-dessus est clair, ce qui suggère qu'il pourrait être soit le début de la matinée, soit la fin de l'après-midi en raison du lumineux et doux éclairage qui baigne la scène. Il n'y a aucune inscription, panneau ou marques visibles sur l'image. Je me suis éloigné de ma voiture et je me suis mis sur la route de terre sableuse, le soleil brûlant m'assailant comme un tambour à cadence relent. La terre sèche et végétale s'étendait devant moi, semblable à une infinité sans fin. Une faible décharge de buissons et d'arbustes bas les décoraient le paysage, leurs tiges tortues étirées se dressant contre le ciel bleu brilleur. Je prenais une profonde inspiration, sentant l'inertie de l'air désertique remplir mes poumons. C'était comme si le temps lui-même s'était ralenti ici, où les seules sons étaient la douce frissons du vent dans les herbes et les cris éclatants d'un oiseau glissant à travers le ciel. Mon but était les formations de roches rouges au lointain - les mesas géantes qui semblaient floutir la gravité, leurs teints roux étincelant comme des charbons contre le bleu splendide. J'avais conduit heures, suivant cette route de terre à rebours comme elle s'écroulait à travers le paysage désertique, et enfin, je les ai vus se lever sur l'horizon - mes pas résonnaient à travers la paix, envolant des petites vaguelettes de poussière autour moi. L'air était pesé d'un parfum de buis et de mesquite piquant qui remplit mes narines et me faisait sentir vivant. Le soleil frappait sur moi, écrasant des ombres longues à travers le terrain rocheux. J'avais marché pendant des heures, les seules bruits étant les pas du vent dans la terre sèche. Le ciel au-dessus était clair, avec juste quelques nuages molles dispersés dessus - peut-être un signe que c'était soit l'aube tardive ou le crépuscule tardif, selon les yeux qu'on avait. Je n'avais pas besoin de cartes ni d'indicateurs pour guider ce voyage. Le désert avait une façon de me rappeler à moi-même, m'attirant avec ses secrets et ses mystères. Et je m'étais attiré vers ces formations de roches rouges comme un fourmilier autour de la flamme, leur beauté rugueuse captivant mon imagination et alimentant ma curiosité. Alors que le soleil commençait à se coucher, éclairant le paysage d'une lumière dorée chaude, je finis par arriver à la base d'un des mesas. Il m'abritait au-dessus de moi, son teint roux brillant comme une flamme qui semblait pulser avec la vie elle-même. Je me tenais devant lui, abasourdi et silencieux, mes pas s'estompés par le soleil de l'admirer - c'était une beauté aride qui m'avait ravi. Et dans ce moment-là, je savais que j'étais exactement là où j'en avait besoin - perdu au milieu du désert, entouré de rien que la sable, le roc et l'horizon bleu éternel.