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L'image présente un chèvre montagnard assis sur une branche d'arbre. Le chèvre tourne vers la droite du cadre, et il paraît debout avec son corps incliné légèrement vers le bas, comme s'il était prêt à sauter ou se déplacer dans cette direction. Son pelage présente des nuances de brun, ce qui le rend visible sur le plan arrière des arbres, qui sont partiellement visibles en raison de leur épaisse couverture de feuilles. Les cornes du chèvre sont marquées et il a une marque distinctive sur son front. Il n'y a personne ni objet humain ou artificiel dans le cadre, ce qui donne l'impression que c'est un environnement naturel, probablement dans une région montagneuse où telles animaux sont originaires. C'était une matinée automnal fraîche dans les montagnes du Colorado. Le soleil se levait lentement sur les sommets, éclairant la vallée d'un doux rayonnement. Aria s'habillait de ses chaussures de randonnée et pendouillait son sac de randonnée sur son épaule, prêtant à faire une autre journée de découverte dans les paysages sauvages. Plus elle montait, l'air refroidissait et la senteur de pin se déversait entre les arbres. Elle suivait le sentier en zigzag, ses yeux fixés sur le relief pour repérer tout signe de faune. Soudain, un bruit dans les buissons fit fondre son attention. Aria s'immobilisa, son cœur battant à tout rompre avec excitation. Un chèvre montagnard émerveilla la fumée des arbustes, son pelage brillant sous le soleil. L'animal se tenait debout au bord d'une clairière, ses cornes scintillantes dans les feux du soleil. Il lui tourna la tête vers la partie droite de l'image, et pendant un instant, leurs yeux se croisèrent. Aria sentit frissonner son dos tandis qu'elle prenait en compte la présence majestueuse de ce cheval sauvage. Le pelage était un beau brun avec des reflets roux sur les bords de ses oreilles et de ses épaules. Les cornes, courbes comme des sabres, semblaient tendre vers elle. Un point de marcage prominent sur son visage lui donnait l'air d'un être noble. La position de l'animal fit frissonner dans son corps un sentiment de joie de vivre. Il était prêt à sauter ou bouger à tout moment. Elle se sentit capable de ressentir l'énergie, la puissance et la sauvagerie du cheval. Lorsque le soleil s'élevait plus haut dans le ciel, les rayons de lumière dansaient sur son pelage, créant des ombres qui semblaient se déplacer comme des êtres vivants. Les arbres derrière lui semblaient des sentinelles, leurs branches torsadées et gercées par l'âge. Pendant un moment, Aria oublia les sentiers qu'elle suivait, les traces qu'elle avait suivi, et resta simplement là, absorbée par la beauté de cette espèce sauvage. Ensuite, comme s'il était apparu brusquement, le cheval se retourna vers elle, disparant dans les arbres. Aria regarda partir, ressentissant une awe et un sentiment de merveille qui restèrent longtemps après que l'animal eut disparu de vue. Elle inspira profondément, rejetant son sac sur son épaule, et continua sa route, la mémoire du regard hanté du chèvre gravée indélébile dans son esprit.