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Une femme regardant à travers un apparente fenêtre aux vitraux tachetés. Elle est positionnée près du appareil photo, son visage partiellement visible par les lèvres de la fenêtre ouverte. Ses yeux sont fixés sur le côté gauche du cadre et elle a une expression contemplative. La femme a des cheveux longs qui tombent doucement sur ses épaules. Le reflet de lumière sur la surface intérieure de la fenêtre ajoute profondeur à l'image. Les vitraux contiennent des motifs complexes, suggérant un cadre artistique ou historique. C'était une matinée d'automne fraîche lorsqu'Emilia se tenait devant la porte en bois ancienne, ses mains reposant sur le poignard métallique en forme de tête de lion qui ornait l'entrée. Elle avait attendu ce moment depuis ce que semblait être une éternité – le moment de revenir à Ravenswood Manor, où sa grand-mère maternelle, Arabella, avait vécu et décédé sous des mystères obscurs. Lorsqu'elle poussait la poignée et poussait la porte ouverte, un lumière dorée chaude s'échappait sur le gazon en herbes, illuminant les arachnides poussiéreux qui clouaient au marbre de la jambe. Emilia se mit à l'intérieur, ses yeux s'habituant à la dimérisation intérieure, où l'air était chargé de souvenirs d'une période lointaine. Elle marchait le long des étroites allées, ses pas résonnant sur les murs en pierre jusqu'à atteindre une grande porte en bois décorée de dessins complexes de feuilles et de vines. C'était la pièce où Arabella passait des heures incontournables regardant à travers le monde au-delà des collines roulantes de Ravenswood. Lorsqu'elle poussait la porte, un parfum délicieux de lavande s'échappait dans l'air, la ramenant aux étés qu'elle avait passé en enfance, jouant cache-cache entre les gaiennes et les tournesols dans cette même pièce. Elle sourit en se rappelant le fait que sa grand-mère Arabella lui contait des histoires de magie et d'incroyable merveilles, ses yeux étincelant de bonheur. Le regard d'Emilia se portait sur la fenêtre à côté de la porte, ses vitres en verre colorées filtrant la lumière matinale en une kaleidoscopie de couleurs. Elle se tenait transfiguée, son visage partiellement visible par les lèvres ouvertes, comme si elle était perdue dans un réfléchi. Les motifs complexes gravés dans le verre semblaient danser devant ses yeux – symboles d'amour, de perte et de transformation. Lorsqu'elle regardait à travers le monde en dehors, Emilia se sentait entourée par la présence d'Arabella, un murmure doux dans son oreille qui l'incitait à regarder plus profondément, à déchiffrer les secrets cachés derrière ces murs anciens. Les yeux de la femme étaient fixés sur quelque chose au-delà du jardin, où les arbres semblaient s'étendre vers le ciel comme une cathédrale naturelle. Dans ce moment, Emilia se sentait le poids des générations levant de ses épaules. Elle savait qu'elle était venue à Ravenswood pour plus que la nostalgie – elle venait pour découvrir les vérités sur les derniers jours d'Arabella et les mystères entourant sa mort. La fenêtre en verre sembla briller en réponse, ses couleurs se profondissant à une teinte riche, presque cosmique. Lorsqu'elle reculait du mur, la pièce semblait s'écrire comme un puzzle qui reconfigurait son architecture. Elle sentait une excitation qui courait dans ses veines – car elle savait qu'elle allait déchiffrer des secrets cachés derrière ces murs anciens, des secrets qui allaient changer tout ce qu'elle pensait savoir sur le manoir de Ravenswood et lui-même. Avec nouvelle détermination, Emilia se tournait du mur, les yeux cherchant l'histoire cachée dans la pièce, des indices et des indices d'une mystère que se dissimulait derrière ses murs en pierre. La porte grinça doucement sur son emplacement, comme si elle fermait une nouvelle ère de découverte, l'écrivant dans l'histoire du manoir de Ravenswood à jamais