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Un détail de visage d'une personne seule. La personne semble regarder directement dans la caméra et ses yeux sont visibles ; l'un est bleu avec une tache de brun cassante autour du iris, tandis que l'autre a un coloration similaire mais plus modeste. Il y a de la moisson sur la peau, ce qui suggère qu'il pourrait être un moment d'amadou ou après une activité physique. La personne semble avoir une peau claire et des traits qui ne sont pas clairement distinguable en raison du détail de la prise de vue. L'endroit entourant est hors focale, mais cela apparaît être un cadre extérieur avec une lumière naturelle qui éclaire le visage. Le soleil éclaboussait sur le chemin forestier, projetant des ombres dapples à travers les arbres tandis que la jeune femme, Lena, courait vers l'objectif de la caméra. Elle n'avait pas remarqué son reflet dans l'eau stillante aux pieds, trop absorbée par le rythme du souffle et le battement du cœur. Lorsqu'elle s'est arrêtée pour un instant, sa poitrine gonflée d'exercice, elle fixa directement l'objectif, ses yeux s'accrochant à la vision du téléspectateur. La caméra captura tous les détails – les faibles pépites de marron autour de son iris bleu, la rose pur de sa bouche presse entre deux dents en concentration, et le défilé de freckles sur son nez. Le visage de Lena était empourpré du courant de sueur, avec des gouttes minuscules de transpiration qui glissaient sur ses osillons et sa front comme une rosée sur un filet d'araignée. Ses yeux semblaient briller d'une lumière interne, comme s'ils partageaient un secret uniquement connu à elle-même. Le sol forestier s'est fondé en arrière-plan, avec une focale douce qui contrasteait radicalement avec la détermination des lignes de ses traits. Le soleil a frappé ses cheveux, les mettant dans un halo doré chaude qui accentuait les tons riches de ses cheveux noirs. Lorsqu'elle se tenait là, suspendue entre mouvement et immobilité, Lena ressentit comme si elle était en suspens en dehors du temps lui-même – gelée pour un instant dans cet état liminaire où le passé et le présent s'étaient mélangés en une seule pensée fluide. Ses yeux semblaient maintenir son regard au téléspectateur, l'attirant plus profondément à ses profondeurs d'âme, où les murmures de son cœur battaient le plus fort. Et puis, comme soudainement que cela avait commencé, la moment passa. Le regard de Lena se brisa contre l'objectif et elle s'est tournée vers le chemin devant, disparant à nouveau dans les arbres comme une feuille d'automne. La caméra resta immobile, capturant uniquement les échos de sa présence – la faible impression de sueur sur sa peau, le doux susurrant des feuilles qui balançaient au vent. L'image s'est tenue pendant un instant, gelée dans le temps, avant de se dissiper lentement à la noire, laissant derrière elle uniquement le moindre indice du regard de Lena – une écho lointain qui semblait dire : J'étais là. Je t'ai vu.