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Jeune femme aux cheveux longs et flous. Elle est partiellement en eau et semble nager ou flotter, avec seulement son visage et sa poitrine visible au-dessus de la surface. Ses yeux sont fermés et elle a la bouche ouverte comme si elle inhalait l'eau froide autour d'elle. Le soleil filtre à travers l'eau, créant un intéressant échange de lumière et d'ombre sur son visage. Elle porte une blouse qui semble être un maillot de bain ou quelque chose de similaire, visible au-dessus de la ligne d'eau. Sa peau est lisse, et elle a un expression neutre sur son visage. Elle se trouvait là, le soleil chaud dans ses cheveux, les reflets de l'eau dans son visage. Ses cheveux noirs à la couleur de la noix de Grenoble tombaient comme une cascade sur son dos, avec des fils individuels qui s'agitaient doucement au courant. Le bord de l'eau était presque invisible à sa surface, comme si elle avait fondu dans le liquide lui-même. Ses yeux, un bleu profond qui sembla presque violet dans ce jour, étaient fermés et son visage était tourné vers le haut, pour que la fraîche eau l'embrassât. Sa bouche était ouverte, en train de boire l'eau fraîche comme une plante qui a bu les gouttes de rosée. La hauteur légèrement montante et montante de sa poitrine racontait l'histoire d'un souffle calme, comme si elle était une avec l'océan lui-même. Le tissu au-dessus de la ligne de l'eau était un bleu turquoise vif presque pourpre et semblait briller sous le toucher du soleil. C'était un swimsuit, ou quelque chose de similaire, qui s'accrochait à ses courbes en toutes les bonnes places, mettant en valeur son corps musclé. Sa peau brillait avec une teinte chaude comme l'alabastre poli. Malgré la paix de ce cadre, il y avait un air d'enigme qui entourait cette femme. Elle semblait être perdue dans ses pensées, son regard fixé sur un point invisible au-delà de l'horizon. Les vagues lèchent doucement à ses chevilles, créant une mélodie apaisante qui s'accordait avec le son de sa propre respiration lente. Lorsque le soleil continua à rouler dans le ciel, projetant des ombres plus longues et dorées sur l'eau, elle commença à se réveiller. Ses paupières frémirent légèrement, comme si elle invitant quelque monde caché sous la surface. Le soleil dansa sur son visage, illuminant les gouttes d'eau qui clingeaient aux bords de ses lèvres et de ses sourcils comme des diamants. Pendant un instant, il sembla que le temps lui-même s'était ralenti. La voix de la mer se reculait à l'arrière-plan, faisant place à un son presque inaperçu – un soupir doux, un souffle silencieux. Et puis, en un instant, elle disparut. Submergée une fois de plus sous la surface, son corps disparaissait de vue comme une apparition fantôme. Les vagues s'apaisaient et l'eau lèchait doucement sur le rivage, comme pour rappeler à son propre souffle que ce moment fugace de beauté avait disparu, laissant derrière lui seuls souvenirs de sa présence éthérée.