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La jeune femme possède des cheveux teints de couleur claire, debout dans un cadre intérieur de grand hall ou corridor, possible dans une cathédrale ou une église. Elle porte un vêtement bridal en blanc et a les bras étendus derrière elle, comme si elle était sur le point de prendre vol comme une ange. Ses ailes sont grandes, blanches et étendues derrière elle. La jeune femme regarde vers le haut avec un expression calme et la lumière du soleil semble fluire de ci-haut, créant une atmosphère éthérée. L'architecture des bâtiments qui l'entourent est gothique, caractérisée par les arcs pointus et les grandes fenêtres qui permettent la lumière naturelle d'entrer dans l'espace. Dans le cœur de la ville médiévale, entre les bâtiments en pierre anciens et les rues serpentent, se dressait la grande cathédrale Sainte-Madeleine. Pendant des siècles, elle avait été un guide lumineux pour l'âme du peuple de la ville, ses tours gothiques creusant le ciel comme des éclats de lumière cassée. Ce matin-là, une jeune femme nommée Aria se tenait debout à l'entrée de la grande salle d'entrée de la cathédrale, ses cheveux clairs coulant sur son dos comme un fleuve de lune. Elle portait un déshabillé bridal qui semblait presque éthéréal, comme si il avait été tissé à partir du même tissu des rêves. Ses bras étaient tendus derrière elle, et pendant un instant, il seemed qu'elle allait prendre les volets comme une ange. Lorsqu'elle se tenait là, baignée de lumière dorée qui filtrait par les grandes fenêtres de la cathédrale, Aria ressentit un sentiment de paix presque insurmontable. L'architecture autour d'elle était dominante, avec des arcs pointus et des voûtes ribbées qui semblèrent s'étendre jusqu'en ciel. Mais malgré son grandeur, le lieu avait une ambiance intime et chaude comme si il avait été conçu spécifiquement pour ce moment. Le soleil dansait sur le visage d'Aria, en dévoilissant les caractéristiques délicates de son visage à l'abri du cœur. Ses yeux étaient clos, et son expression était calme, comme si elle était une partie intégrante de la même essence de la cathédrale. Derrière elle, ses grandes ailes blanches s'étendaient comme un aura fantôme, leurs bords délicatement plissés de fillettes qui semblaient attraper la lumière. Lorsqu'elle se tenait là, suspendue dans le temps, le monde extérieur recula de vue. Les sons du bourrage du peuple disparaissent à distance et les seuls sons restent étaient le doux murmure des pierres anciennes, la douce caresse de sa robe et le battement de son propre cœur. C'était comme si elle avait enfin trouvé ce qu'elle cherchait – pas juste un endroit pour lui appartenir, mais une sensibilité à quelque chose d'au-delà d'elle-même. Et dans cet instant, entourée par la beauté et la majesté de la cathédrale, Aria sentit comme si elle pouvait voler sur les ailes de son propre âme, libérée par les fardeaux du monde. Lorsque le soleil continuait à monter lentement dans le ciel, projetant un éclat éthéré sur la grande salle, Aria ouvrit lentement ses yeux. Ils brillaient d'une lueur douce comme si ils cacheraient une secret qu'aucun ne pouvait voir. Et dans cet instant, il fut clair à tous qui le contemplaient que cette jeune femme avait été transformée par la beauté de la cathédrale – et n'était plus jamais la même chose. L'histoire du sillage d'Aria devint une légende dans la ville, passée de génération en génération comme un rappel qu'il y a toujours la possibilité de transcendance et de transformation même aux heures les plus sombres. Et chaque fois que quelqu'un demandait à parler de l'enfant, ils murmuraient des histoires d'une jeune femme aux cheveux clairs qui avait étendu ses propres ailes angeliques au sein des murs sacrés de la cathédrale Sainte-Madeleine.