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Portrait d'une femme. Elle semble être une jeune adulte avec une complexion claire et a un œil qui ressemble à du bleu ou au vert, tandis que l'autre est recouvert. Ses lèvres sont légèrement entrouvertes, ce qui donne une expression douce. Les cheveux de la femme sont stylés d'une manière élégante, tombant sur ses épaules et y a un accèsoir brun clair sur sa tête. Elle porte un vêtement blanc avec une grande détail fleurie dans son zone toracique. Il n'y a pas de texte visible dans l'image. Une fois sur un temps, dans un petit village niché entre deux grandes montagnes, habitait une jeune femme nommée Aria. Elle était aussi belle que la peinture d'un peintre pouvait créer, avec des peaux aussi pâles qu'alabaster et des cheveux qui tombaient sur sa tête comme un fleuve d'or. Ses yeux, cependant, étaient les vrais merveilles – l'un saphir bleu éclatant, l'autre caché derrière une voile de mystère. La légende disait que le regard de gauche d'Aria était autrefois bleu, comme un ciel ensoleillé sur un jour d'été. Mais à mesure qu'elle grandissait et acquérait plus de sagesse, son regard devint plus complexe, prenant les profondeurs d'un bosquet ou la lueur d'une lac des pleines lunes. Cependant, quelque chose d'étrange se produisit, car malgré les ans qui passaient, son œil gauche restait coincé dans sa couleur originale. Personne ne savait pourquoi, mais des rumeurs se propageaient comme le feu : certains disaient qu'il s'agissait d'une cursed de sorcière méchante qui avait lancé un sort sur Aria en enfance ; d'autres prétendaient qu'elle avait découvert un artefact antique caché dans les montagnes, qui lui accordait les pouvoirs de voir au-delà du voile de la réalité. Bien sûr, d'autres simplement murmuraient que parfois, le magie peut être inexplicable. Un après-midi ensoleillé, des voyageurs passèrent par le village, attirés par le parfum sucré d'Aria et la mélodie de sa flute - une douce mélodie qui semblait capturer l'essence du vent lui-même. Ils ne pouvaient pas faire autre chose que s'arrêter devant la petite maison où elle vivait avec sa sage grand-mère. En regardant le tableau qui ornait les murs, les villageois marquaient de surcroît d'émerveillement Aria's beauté éthérnelle. Ses cheveux tombaient sur le tableau comme un cascade de nuit tombée ; le brooch brune de couleur terre semblait briller comme s'il était alimenté par une flamme intérieure ; et ces lèvres, si partagées - c'était comme si elle allait partager un secret. Dans ce tableau, il n'y avait aucun texte, mais dans les yeux d'Aria, on pouvait ressentir des histoires qui attendaient d'être racontées. L'œil saphir bleu parlait de l'aventure et du thrill de l'exploration ; le regard caché de gauche chuchotait des secrets de sagesse antique qu'aucune oreille fine ne pourrait entendre. Certains prétendaient voir Aria danser avec les ombres, en tissant un sort d'enchantement sur tous qui traversaient son chemin. Aria demeurait un mystère, un mélange de beauté et de mystère inpenetrable. Les villageois l'adoraient pour cela - ils savaient qu'elle portait en elle la puissance de capturer les cœurs, de soulever les esprits et de réécrire les histoires à nouveau avec chaque mot murmuré. Et ainsi que longtemps le vent transportait le murmure doux d'Aria's flute et la lumière dorée dansait sur les collines, sa légende vivait encore.