Une personne avec une apparence humaine regarde par une fenêtre. Elle a de la peau claire, des cils longs et des yeux bleus. Ses cheveux blondes sont partis au milieu. Les traits faciaux incluent les sourcils, le nez, la bouche et les oreilles. Son expression apparaît neutre et elle regarde à côté plutôt qu' devant ou vers l'internaute. La personne porte un top avec une couleur sombre dessus. La fenêtre à travers laquelle elle regarde a des rideaux en bois partiellement fermés.. 12th March 2025
Une personne avec une apparence humaine regarde par une fenêtre. Elle a de la peau claire, des cils longs et des yeux bleus. Ses cheveux blondes sont partis au milieu. Les traits faciaux incluent les sourcils, le nez, la bouche et les oreilles. Son expression apparaît neutre et elle regarde à côté plutôt qu' devant ou vers l'internaute. La personne porte un top avec une couleur sombre dessus. La fenêtre à travers laquelle elle regarde a des rideaux en bois partiellement fermés. Le soleil lançait ses rayons chaleureux à travers les volets en bois anciens de la petite maison, illuminant la figure debout à la fenêtre. Elle était une femme impressionnante, avec des peaux aussi pâles qu'alcancar et des cheveux d'or comme le soleil du matin. Ses longues cils semblaient balancer lourdissément dans le vent, encadrant ses yeux bleus brillants qui regardaient quelque horizon lointain. Son chevelure blonde était divisée en deux sur la tête, révélant une narine délicate et des taches de freins sur son menton. Des sourcils élégants se dressaient au-dessus de sa bouche, lui donnant un air mystérieux qui semblait dire qu'elle gardait des secrets qu'elle ne partageait pas. Ses lèvres étaient serrées en ligne droite neutre, comme si elle savourait la contemplation silencieuse du moment. Elle se tenait avec un épaule légèrement penchée vers la fenêtre, son regard balayant lentement de l'un à l'autre plutôt que fixer quelque chose d'assez spécifique. La blouse qu'elle portait était une couleur douce et teintée qui semblait fondre sur les murs environnants – un gris-terre doux qui parlait de confort et d'intimité. Les doigts minces des femmes battaient un rythme lent contre la fenestraliaire tandis qu'elle se tenait là, perdue dans ses pensées. Elle ne semblait pas voir rien à l'extérieur; son expression restait calme et sans inquiétude, comme une brise de printemps qui caressait les feuilles sur un jour silencieux. Lorsque le soleil dansait sur sa figure, il mettait en évidence les contours doux de son visage – la pente douce de son nez, la courbe délicate de sa bouche, l'haussement doux de ses os du visage. C'était comme si elle était une sculpture sculptée dans le marbre, polie à perfection par la main douce du soleil. Le temps semblait ralentir dans ce moment, comme s'il avait oublié son rythme et attendait un signal inconnu pour reprendre sa cadence. Et la femme, perdue dans ses pensées, restait une statue – figée, calme et indomptable, comme un chef-d'œuvre d'art exposé dans un jour doré silencieux.