Votre sélection :
Une personne se pose à l'extérieur, pendant ce qui semble être soit le lever du soleil ou le coucher du soleil. Cette dernière possède des cheveux blonds ondulants longs et regarde à l'horizon avec la bouche légèrement entrouverte, comme si elle était en train de parler ou de penser. Elle porte une chemise blanche légèrement ouverte qui révèle une partie du torse. L'expression de cette personne transmet un sentiment de méditation ou de paix. Dans le background, le ciel est orné de couleurs chaleureuses typiques d'un coucher de soleil ou d'un lever du soleil, qui projetent une lumière douce sur la face de l'individu et l'environnement entourant. Comme les dernières vapeurs de ténèbres disparurent à l'horizon, Lena se tenait debout au sommet d'une colline, ses yeux perdus dans l'immensité qui s'étendait devant elle. Le ciel était embrasé de couleurs d'orange, de rose et de pourpre, un coucher de soleil époustouflant qui semblait être peint par les brushs naturels. Ses cheveux blonds ondoyants dansaient doucement au vent, comme si l'appelaient à se laisser emporter par leurs murmures. Le regard de Lena glissait vers l'horizon, ses lèvres ouvertes comme si elle était en train de parler, ses pensées suspendues en plein air comme une papillon sur le bord du précipice. Sa chemise blanche, avec son col ouvert et ses petits épaules délicates, semblait scintiller en harmonie avec les tons chaleureux du ciel. La tissu révélait un petit morceau de peau crème beneath, où des taches de frelons brillotaient comme des petites étoiles. Lorsqu'elle se tenait là, le monde autour d'elle s'effaçait, laissant seulement les doux bruits des feuilles, le cri lointain du cantilénant et le doux claquement des branches dans la lumière faible. L'air était rempli d'une almost palpable sensibilité de serenité, comme si l'essence même de la paysage avait pénétré au sein de Lena. Elle semblait une créature de réflexion, son expression lourde d'introspection silencieuse, comme si elle déchirait les fils d'un tapis fragile et infini. Ses yeux, des étangs liquides bleues, scintillaient avec un lumière intérieure, une chaleur douce qui semblait émettre de l'intérieur. Le temps lui-même paraissait ralentir, comme si le univers avait cédé pause pour lui accorder une vision fugace de ses propres mystères. Le cœur de Lena battait en harmonie avec la rythme du monde, son être était attuné aux murmures du vent et aux doux bruits des feuilles. Et ainsi elle se tenait là, suspendue entre les mondes, perdue dans les couleurs tourbillonnantes du coucher de soleil ou du lever du soleil – quelle couleur que le ciel avait choisi de lui accorder. Le monde autour d'elle s'effaçait en un kaleidoscope de couleurs et de lumière, comme ses pensées erraient dans les sphères de la pensée, guidées par les doux murmures du monde. Dans ce moment silencieux, elle trouvait refuge dans l'immensité devant elle, et c'était comme si le tissu même de la réalité s'était entrouvert autour d'elle, serré contre les courants de la vie. Pour Lena, le temps restait à l'arrêt – et tout ce qui comptait était que : elle vivait, suspendue dans un monde de beauté époustouflante, baignée par le doux aboiement doux du coucher de soleil.