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Personne avec cheveux blondes. L'individu porte un langoue rouge et semble être en mouvement, avec des cheveux qui bougent autour de son visage. Il a une expression neutre et regarde à côté, les yeux d'un seul, le regard est fixé sur l'horizon. Le fond est flou mais suggère un cadre extérieur avec une éclairage naturel qui jette des ombres douces sur le visage de la personne. Elle marchait le long de la cheminée en terre sèche, ses cheveux blonds longs se déroulaient derrière elle comme un fleuve d'or dans la lumière faible qui commençait à s'éteindre. Sa lèvre rouge vif se dressait contre les nuances douces de la paysage, une affirmation audacieuse parmi le doux bruissement des feuilles et le chant des grillons. Ses yeux, étroits légèrement comme si elle les fermais à cause du soleil chaude, semblaient regarder à l'horizon, perdues dans un réflexion. Mais l'un d'eux était fermé, lui conférant une air de mystère et de réflexion profonde. Le léger battement des lèvres témoignait d'une faible mouvement sous la paupière fermée, suggérant qu'elle avait peut-être ralentie sa marche ou que son regard s'était arrêté sur quelque chose d'attirant. La perspective, floue à cause de la lumière qui commençait à s'éteindre, se blottissait ensemble en un expanse doux de verts et de bruns - une tapisserie de forêt, d'arbres et d'écorce qui semblait s'étendre à l'infini. Le soleil projetait des ombres rayées sur son visage, soulignant les planches aigues de ses sourcils et accentuant les courbes douces de son nez. Le rythme de son pas était fluide et apaisant, comme si elle savourait chaque étape ou perdit dans un monde de pensées. Ses épaules se détendaient sous son pantalon en denim usé, ses bras balançaient librement hors de leurs manches comme des oiseaux en vol. À certains moments, une brindille de cheveux s'échapperait du confin de sa queue de cheval, dansant autour de son visage avant de se rétablir à nouveau dans son emplacement. Même si l'atmosphère qui la entourait semblait paisible, il y avait un air de retenue dans le comportement de Lena. Elle sembla perpétuellement sur les deux pieds, prête à sauter dans l'action à tout moment. Et pourtant, en ce instant fugace, elle était immobile - suspendue dans le temps comme une statue, sa beauté et son charme filtrait dans le paysage environnant comme la douce cascade d'un petit ruisseau caché. À mesure que le soleil se baissait plus bas dans l'horizon, projetant des ombres longues sur le sol de la forêt, les traits de Lena semblèrent se mollifier, son expression s'enfonçant dans une réflexion paisible. Le monde à ses pieds se dissolvait, laissant seulement le doux bruissement des feuilles, le chant des grillons et le doux battre de son propre cœur - un rappel que parfois, c'était dans les moments de silence qu'on trouvait le plus profond contact avec soi-même et avec le monde qui l'entourait.