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La silhouette d'une vue de profil d'une tête appartenant à une jeune femme avec des cheveux coupés en bob, où se dévoile légèrement le nez et son visage porte une expression neutre. Devant cette silhouette, s'étend un dessin artistique représentant un arbre avec des feuilles d'or contre un horizon de coucher du soleil ou de l'aube, où les tons varient de l'orange au rose, créant un climat chaleureux et invitant. Au-dessus de l'arbre, le ciel est rempli de étoiles, ce qui suggère qu'il pourrait faire nuit. La partie inférieure de l'image est transparente et ne contient aucune détail distinctif. Il était une fois, dans un petit village niché entre deux grandes montagnes, vivait une jeune femme nommée Luna. Elle était peintre, connue pour ses paysages et portraits époustouflants qui semblaient capturer l'essence même de leurs sujets. La dernière œuvre d'art de Luna, L'Aube Éternelle, venait de être terminée. Le tableau représentait un arbre aux feuilles d'or face à un ciel ensoleillé, avec des tons allant du orange au rose. Lorsqu'elle se tenait à l'écart pour admirer son travail, elle remarqua quelque chose d'anormal - la silhouette debout devant le arbre n'était pas autre qu'elle-même. Ou, du moins, c'était une silhouette de sa profile. Elle ne savait pas pourquoi cela était ainsi, mais il y avait quelque chose de répandu et de familier sur la scène qui se dévissait devant ses yeux. Lorsqu'elle plongea davantage dans l'œuvre d'art, Luna commença à remarquer d'autres détails subtils qui semblaient apporter vie à l'image. Le ciel au-dessus du arbre était rempli de étoiles qui scintillaient comme des diamants sur les bleus profonds de la morning. Les couleurs étaient chaleureuses et invitant, évoquant des sentiments de sérénité et de paix. Mais plus Luna continuait à étudier son artwork, elle commença à ressentir une connexion inattendue avec la silhouette debout devant le arbre. C'était comme si elle avait été transportée dans le temps pour un moment où cette même scène se déroulait devant ses yeux. Soudain, Luna se retrouva debout devant la même peinture, avec le même arbre et le soleil qui s'étendait à l'horizon. Les étoiles au-dessus scintillaient comme si elles étaient tombées spécifiquement sur elle. Et puis, juste au moment où elle avait compris que c'était bien elle debout devant le tableau - ou plutôt, sa silhouette - une légère brise caressa ses cheveux, apportant avec elle l'odeur de fleurs sauvages et d'air frais. Dans ce moment, Luna ressentit un sentiment de clarté et de but qui la submergea. Elle comprit que L'Aube Éternelle n'était pas juste une peinture - c'était une porte vers un monde au-delà de la réalité. Un monde où le temps et l'espace se brouillaient, et les limites entre passé et présent se dissolaient. Et tandis qu'elle se tenait là, plongée dans la chaleur de feuilles d'or et des étoiles qui scintillaient au-dessus, Luna sut que son art n'avait pas seulement créé une image belle - mais l'avait donné une vue sur le tissu même de l'existant