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Scène du ciel avec une personne regardant vers le haut, entourée de points étoilés qui donnent l'impression d'un environnement céleste ou rêveur. La personne est silhouettée contre un fond plus clair, qui pourrait être interprété comme les nuages ou les étoiles, et semble regarder quelque chose en dehors du cadre. Le point de focalisation se situe sur la figure humaine, avec le ciel fournissant un fond qui renforce le sentiment de merveille et de grandeur de l'univers. Il n'y a pas d'écrits visibles dans l'image. La dernière lumière du soleil s'est éteinte à l'horizon, et Lena se tenait debout au bord de la falaise, ses pieds plongés dans le sol doux comme si elle allait pénétrer dans les étoiles elles-mêmes. Le ciel au-dessus était une profonde teinte d'indigo, avec des constellations qui scintillaient comme des diamants répandus sur la toile de l'univers. Son regard était fixé sur un point au-delà de l'horizon, ses yeux froncés légèrement comme si elle essayait de voir à travers le voile de la réalité pour quelque chose de plus profond. Ses bras étaient étendus aux deux côtés, ses doigts s'étiraient largement comme si elle embrassait les infinies possibilités qui se déroulaient devant elle. L'air autour d'elle était plein de millions de petits éclairs, comme des feuilles de papier qui dansaient dans la veillée. Ces points éclairants étaient attirés par sa présence, se déplaçant autour d'elle comme un tourbillon de merveille et de curiosité. Ils semblaient être attirés par quelque chose qu'elle voyait à l'horizon – quelque chose que le soleil ne pouvait voir qu'à partir des yeux sensibles aux miracles du cosmos. Lena se tenait là pour ce qui lui semblait une éternité, perdue dans ses pensées comme la monde en bas continuait son ralenti pas à travers les heures nocturnes. Elle était un point minuscule dans cet espace vaste, un petit point de lumière qui clignotait dans l'obscurité – et elle avait encore une connexion avec quelque chose plus grand qu'elle-même. Lorsqu'elle regardait vers le ciel, Lena commença à ressentir la légèreté de l'exister. Les soucis et les préoccupations qui l'avoyaient pesant pendant si longtemps semblaient se décharger de plus en plus avec chaque moment qui passait, comme des feuilles portées par un vent d'automne. Elle se sentait comme si elle flottait sur la surface d'une grande mer, les courants la dirigeaient vers une destination inconnue. Dans cet éternel présent, le temps perdit toute signification. Le passé recula dans les ombres et le futur devint molle – pliable à la volonté de Lena comme un terreau en main d'un potier. Elle était libre d'explorer toutes les possibilités qui se trouvaient devant elle, libérée des fardeaux de la convention et de l'attente. Lorsqu'elle se tenait là, baignée dans le doux éclat du ciel, Lena sentit qu'elle devint une partie de l'univers. Le battement de son cœur en harmonie avec le rythme pulsatil de la création – une symphonie de naissance, de croissance, de déclin et de renaissance qui échoyait dans chaque molécule de sa chair. Dans ce moment, elle sut qu'elle n'était pas seule dans l'immensité de l'exister. Elle était liée à tout être vivant – aux étoiles et galaxies qui tournent comme des roues cosmiques, aux océans et forêts abondants en vie, à tous les secrets murmures entre les âmes à travers le temps et l'espace. Les yeux de Lena scintillaient comme deux points d'étoile lorsqu'elle regardait vers l'horizon, son cœur s'écoulaient avec une sensation d'appartenance à quelque chose plus grand qu'elle-même.