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Une personne est visible dans l'image, partiellement coupée par un cadre. Elle se tient en plein air avec une lumière naturelle qui illumine son visage et ses cheveux. L'individu semble regarder quelque chose à l'extérieur du cadre à gauche. Ses caractéristiques faciales incluent des lèvres pleines, un nez droit et un profil ovale. Le personnage a des cheveux longs et noirs, possiblement avec des rehaussements. Il a des yeux bleus qui sont partiellement visibles, apparentes à regarder quelque chose ou quelqu'un à l'extérieur du cadre. La personne a une peau claire et semble porter peu de maquillage. Elle se tient devant une plante verte ouverte avec des feuilles grandes, ce qui pourrait suggérer un environnement tropical ou subtropical. Le fond est en focus flou et ne fournit aucune information supplémentaire sur la localisation. Elle se tenait debout à l'orée de la paisible oasis, le soleil chaud dansait sur son visage, éclairant chaque courbe de ses traits. Ses lèvres pleines s'inclinaient en un sourire subtil lorsqu'elle regardait loin, perdue dans les pensées. Le cadre qui la circondisait était ancien et usé, ses planches de bois étaient asséchées à un gris doux qui se fondait harmonieusement avec l'entourage. Il avait appartenu à un photographe qui avait capturé des moments de beauté infinies, mais maintenant il se trouvait vide, un témoignage du passage inexorable du temps. Les longues cheveux noirs d'Alessia tombaient sur son dos comme une cascade, avec des nuances qui piquaient légèrement la lumière déclinante. Ses yeux bleus scintillaient lorsqu'elle recherchait l'horizon, sa regard attiré par quelque chose au-delà de la limite du cadre. Elle portait un maquillage minimal, laissant son beauté naturelle briller, et sa peau pâle brillait d'un éclairage doux. Son habillement était simple mais élégant – une chemise sans manche qui mettait en valeur ses bras et épaules musclés, combinée à un jupon qui flottait derrière elle comme une nuage. Seulement une petite partie de l'habit était visible au sein du cadre, mais elle parlait tout haut sur le caractère de l'esprit libre d'Alessia. Là où elle se tenait debout, elle semblait communier avec la nature elle-même. Devant elle, un grand plant vert pénétrait en avant, ses grandes feuilles craquant légèrement au vent. L'air était épais du parfum des fleurs qui fleurissaient et de la terre fraîche, et le chant des oiseaux remplit l'air. La présence d'Alessia était calme, comme si elle avait trouvé ce refuge caché à travers hasard. Mais il y avait quelque chose en elle qui semblait presque... intentionnel. Comme si elle avait été attirée là pour une raison qu'elle ne pouvait pas se rappeler. Lorsque le soleil baissait plus bas dans le ciel, laissant des ombres longues sur le paysage, les yeux d'Alessia ne déviaient jamais de l'horizon. Elle se tenait debout à l'orée de ce moment, suspendue entre le passé et le futur, son coeur battant avec anticipation. Et puis, tout à coup, tout était silencieux. Les oiseaux cessèrent leur chant, les fleurs s'arrêtèrent de fleurir, et le vent se ralentit au murmure doux. C'était comme si le temps lui-même avait suspendu sa respiration, attendant son prochain mouvement d'Alessia. Mais elle n'a pas fait un pas en avant. Elle ne fit que se tenir debout, suspendue dans ce moment, ses yeux bleus fixés sur quelque chose au-delà du cadre. Le monde autour d'elle disparut, laissant seule la douce caresse des feuilles et le battement doux de son propre coeur. En cet instant, tout semblait possible.