Votre sélection :
Une personne debout au centre d'un paysage surréaliste. L'individu porte une chapeau de couleur sombre et une chemise blanche, avec son visage caché par une ombre ou peut-être un nuage. Il marche vers le spectateur, qui semble être placé à la fin d'une route serpentante ou d'une voie qui s'étend dans la distance. Le paysage lui-même est très impressionnant, caractérisé par un grand et tourbillonnant galaxie au ciel en dessus. Les couleurs de cet corps céleste sont vibrantes et variées, créant une scène abstraite et fascinante. L'entourage de l'individu sont des collines ou des montagnes qui se terminent à l'horizon sous un ciel partiellement nuageux. Le sol est irrégulier, avec des taches de prairie et ce qui semble être une roche, contribuant à un sentiment de beauté naturelle rude. L'ensemble du style de l'œuvre a une qualité onirique, avec une texture pâtissière qui lui donne un sentiment d'impressionnisme. Les couleurs utilisées sont très vives et s'épanouissent sur des tons plus dégagés du paysage. Cette combinaison d'éléments crée une image dramatique et réfléchie qui semble fusionner les plans de la réalité avec les éléments de fantastique ou otherworldly. L'air était chargé d'une énergie surnaturelle lorsque Kael se tenait au centre de ce paysage surréaliste, son chapeau sombre projetant une ombre sur son visage. Le monde autour de lui semblait être en constante mutation, comme si la verytè tissure de la réalité avait été déchirée et repliée dans ce nouveau réel. Lorsqu'il marchait vers le spectateur, ses pieds semblaient bouger d'une vie propre, comme s'ils étaient tirés par une force invisible. Le chemin serpentant derrière lui était entouré de collines et de montagnes qui atteignaient jusqu'au ciel comme des géants, leurs sommets ébouriffés disparurent dans le tourbillon d'étoiles du firmament supérieur. L'univers lui-même était un kaleidoscope de couleurs, des bleus vibrants et des oranges flamboyants dansant sur sa surface comme des étincelles d'une feux céleste. Il pulsait et frémissait, comme si il était vivant, projetant une lumière éthérale sur le paysage en dessous. Le chapeau sombre de Kael semblait absorber la lumière autour de lui, rendant son visage presque invisible dans les ombres qui l'entouraient. Sa chemise était un blanc clair et crémeux, comme une étincelle qui se dressait contre le tissu sombre de son chapeau, comme un signe d'appel à l'inconnu. Lorsqu'il marchait, le sol sous ses pieds changea et s'effondra, révélant des parcelles de gazon cachées et de roches qui semblaient se tortiller et se contorsionner dans la lumière vacillante. L'air vibrât avec une énergie électrique, comme si chaque molécule était vivante et tremblait d'anticipation. Le destination de Kael était enveloppée dans le mystère, mais il sentait être attiré par elle comme un aimant à l'acier. Il marchait pour des heures, ou peut-être des jours – le temps avait perdu toute signification dans ce monde onirique – et malgré la confusion croissante de son objectif, Kael pressa de continuer, poussé par une curiosité insatiable qui l'attira plus profondément au cœur de ce monde étrange. Il se sentait comme un fil tiré d'une grande tapisserie cosmique, qui se tissait dans la verytè même de la réalité. Lorsqu'il approchait du spectateur's position à l'extrémité du chemin serpentant, Kael pouvait sentir l'énergie s'accroître à un pic. L'air vibrait d'anticipation, comme si chaque molécule attendait quelque chose – ou quelqu'un – pour éclater dans ce paysage surréaliste. Et puis, juste au moment où Kael atteignait la fin de l'horizon, tout s'enfuma à blanc. Les couleurs de l'univers disparurent comme un ember mourant, laissant uniquement une vastesse des étoiles scintillantes et une mer infinie de silence. Les collines et les montagnes reculèrent jusqu'à être nothing plus que des souvenirs gravés dans l'œil du regard. Et Kael...Kael disparut ou sembla-t-il disparaître. Mais non, car à son vanissement, son chapeau sombre resta debout, se dressant comme un gardien mystérieux au bord de ce paysage. Et sur sa surface, une seule parole était gravée, éclairant avec une lumière surnaturelle : Bienvenue. Le regard du spectateur suivit la direction de l'extinction de Kael, et se retrouva perdu dans l'infini expanse des galaxies célestes supérieures, avec seulement un faible reflet de forme sombre subsistant comme une écho à la fin perception. Car dans ce paysage surréaliste, rien ne pouvait jamais être vraiment vu – mais tout était toujours sur le point d'être perçu.