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Une femme debout devant la Tour Eiffel en nuit. Elle porte un costume à l'avaite du style des années 20 avec une cravate au plume et ses cheveux sont coupés court avec des sourcils sur le front. Elle porte maquillage, dont une gueule de verre et se regarde d'un côté sans très grande attention. Le fond montre la tour éclairée contre un ciel nocturne avec la lune et les étoiles, ainsi que des réverbères et d'autres éléments de paysage urbain tels qu'une affiche qui dit Casino. Les phares de la Tour Eiffel sont aussi allumés. La pose et le costume donnent à cette femme un air vintage ou nostalgique du style des années 20. C'était une soirée d'hiver glacial à Paris et la ville était vivante avec de la magie du soir. La Tour Eiffel se dressait haut dans le ciel étoilé, son latticier en acier brillant comme mille diamants. Sur ce paysage époustouflant, une femme se tenait sur ses gardes, les yeux fixés sur un point au-delà du silhouette majestueuse de la tour. Elle portait un dress flapper qui définissait son corps en tous points, décoré de broderies et de perles qui scintillaient comme des mouches à la lumière de la lune. Un foulard de plumes se déroulait élégamment sur ses épaules, ajoutant un touch de glamour hollywoodien de l'ère d'or à son ensemble déjà chic. Ses boucles courtes étaient stylographiées avec des frontières qui tombaient sur sa tête, mettant en valeur son visage ovale. Les couleurs du maquillage lui avaient été appliquées d'une main artistique pour souligner ses traits : un goutte de rouge vif peint sur son langue lui donnait un sourire de joli rouge, tandis que ses yeux brillaient comme des saphirs sombres dans l'air nocturne. Un pincement de poudre sur ses joues lui donnait une lumière douce et éthéré, comme si elle était une lune en chair. En regardant la ville, ses pensées erraient à travers les cabarets et les speakeasies où les gens dansaient le charleston avec leurs amis, buvaient des cocktails de champagne et vivaient l'intoxication du moment présent. Mais ce soir était différent, c'était lui qui se tenait seul, perdu dans ses pensées comme la lumière des tourpes de la tour éclairaient la ville d'une manière étrange. Le signe du casino s'alluma à nouveau, invitant les passants à entrer dans ses salles sacrées et à profiter des secrets cachés au sein. En regardant la ville, ses yeux restaient fixés sur un petit magasin oublié entre une patisserie et une boutique : il était tombé sur ce petit magasin par hasard l'une soirée pluvieuse, son portail s'ouvrant comme une invitation à une enquête mystérieuse. Le signe au-dessus du portail indiquait Mademoiselle LaRue's Curios et elle ne pouvait pas l'éviter de se sentir attirée par ce petit magasin qui cachait des secrets digne d'être découverts. En soupirant, elle retourna vers la Tour Eiffel, ses pensées en miettes avec les possibilités et les promesses. Le ciel étoilé brillait autour d'elle comme une constellation de diamants, et elle se sentit sans cesse enclin à se lancer dans l'inconnu, à perdre elle-même dans les rues labyrinthiques de Paris pour découvrir les secrets cachés sous la façade brillante. Et ainsi, la femme restait là, figée dans le temps, tandis que l'air nocturne murmurait des secrets dans son oreille. La Tour Eiffel se dressait au-dessus d'elle, un gardien du passé, tandis que la ville elle-même semblait retenir sa respiration en attendant les aventures qui allaient bientôt se produire.