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Dans cette image, une femme se tient debout sur un balcon au coucher du soleil. Elle paraît avoir entre 20 et 25 ans ou être encore adolescente et porte des cheveux longs qui tombent jusqu'à la genou pour environ le milieu. La femme est vêtue d'une robe élégante avec une jupe en volant qui semble saisir le vent. Elle tient ce qui ressemble à un bouquet de fleurs rouges, ce qui ajoute une touche de couleur à l'image. Ses yeux regardent l'horizon vers la ville, qui comprend des bâtiments et une grande structure à domes qui pourrait faire partie d'un monument ou d'une particularité architecturale. L'expression de la femme est calme et elle semble profiter du point de vue. Les couleurs de l'image sont chaleureuses, avec des tons oranges, rose et rouges dominants du paysage, indiquant soit le lever du soleil, soit le coucher du soleil. Le fond présente un ciel qui passe de la lumière à la sombre, suggérant que le moment pourrait être vers le crépuscule. La femme se tient debout sur un balcon avec des ferments en fer forgé, ce qui ajoute une touche classique au cadre. (Vous pouvez ajuster l'expression si vous le souhaitez pour qu'elle corresponde à votre idée) C'était une soirée chaude, le soleil venait de commencer à se coucher et lançait un éclat doré sur la silhouette urbaine qui s'étendait devant lui. Le ciel était peint d'huiles de porcelaine de rose et d'orange, un cadre breathtaking pour la femme debout sur les marches. Elle regardait vers le tour en distance, son sommet s'est évaporé dans les nuages comme si il cherchait à atteindre le ciel. Les marches qu'elle tenait étaient anciennes, leurs murs de pierre ornés de pâles et de souvenirs oubliés. Mais ce soir, elles semblaient prendre vie sous la lumière douce du soleil qui se couchait. Les yeux de la femme scintillaient comme des diamants dans l'heure surnaturelle, comme si ils reflétaient la beauté de la ville qui les entourait. Elle était une vision dans un vêtement fluide au motif rouge, son tissu en soie brillant comme de l'or à la lumière du soir. Ses cheveux, une cascade riche de brun foncé, cascadaient le long de sa colonne vertébrale comme un torrent de nuit. Le souffle doux les frisait, faisant des ondes minuscules dans leurs tresses, et les yeux de la femme semblaient briller d'un éclat intérieur. Alors qu'elle se tenait là, perdue dans la beauté de la ville, sa main se mit instinctivement à toucher le cadre du petit portrait sur le mur qui lui entourait. C'était un vieux dessin, réalisé au style des maîtres du passé, mais il capturent l'essence de ce moment parfaitement. Les yeux de la femme étaient fixés les siens, et pendant une seconde, elle sentit qu'ils regardaient dans les profondeurs de chacun d'eux. Le portrait montrait deux figures debout ensemble sur un palier houleux, regardant le paysage urbain recouverte de lumière dorée du coucher du soleil. Leurs mains étaient entrelacées, leurs visages inclinés vers l'horizon, leurs yeux perdus dans la même rêverie légendaire qui avait capturé son cœur. Il était comme si ils étaient congelés dans le temps, suspendus au-dessus des rues étroites en dessous. La regardance de la femme se fixa sur le portrait pendant un moment plus long, et puis elle sourit doucement à herself. Elle ressentait une nostalgie, un désir qui restait juste hors de portée d'atteindre, mais l'image qui se tenait devant elle semblait l'évoquer parfaitement. Les tons doré et rouge du vêtement lui semblaient être mêlés avec les nuances de coucher du soleil de la ville comme s'ils étaient un et la même chose. Alors qu'elle se tournait vers le portrait, les yeux des femmes rencontrèrent ceux d'un étranger debout à l'extrémité des marches. Il regardait la femme avec une étincelle intense dans ses yeux, boire en détail de chaque aspect de sa présence. Pendant un moment, ils se tenaient là, liés par un silence compréhensif qu'il était impossible de formuler. Et puis, comme s'ils étaient tous deux venus d'accord sur leur état, ils tournèrent vers le palier et la ville s'étendit devant eux comme un tableau attendant à être peint. La main de la femme frôla le rail, envoyant une lueur dorée dans ses cheveux, qui dansaient comme des mille petits éclairs dans la lumière surnaturelle de la fin du soir. Alors qu'elle prenait les marches sur le palier, le stranger suivit à ses pieds, leurs pas résonnant dans l'air nocturne comme si elle étaient tous deux se tenaient debout sur le bord de la ville et qu'ils avaient été mis là pour être vus.