Scène de forêt calme au matin ou à la fin du jour, en raison de la lumière douce et des longues ombres. S'y trouvent un groupe d'alces debout au centre de l'image. Ils regardent vers la gauche avec leurs têtes dressées, apparaissant calmes et vigilants. Les alces ont des cornes prononcées. Dans le premier plan, il y a une route qui mène à l'intérieur des bois, invitant le spectateur à imaginer se promener plus profondément dans ce cadre naturel. Sur les deux côtés de la route, il y a des arbres aux branches dépouillées, suggérant qu'il pourrait être l'automne ou l'hiver. Le sol est recouvert de feuilles mortes, ajoutant un touche de couleur saisonnière à la scène. Il n'y a aucun texte visible sur l'image.. 11th March 2025
Scène de forêt calme au matin ou à la fin du jour, en raison de la lumière douce et des longues ombres. S'y trouvent un groupe d'alces debout au centre de l'image. Ils regardent vers la gauche avec leurs têtes dressées, apparaissant calmes et vigilants. Les alces ont des cornes prononcées. Dans le premier plan, il y a une route qui mène à l'intérieur des bois, invitant le spectateur à imaginer se promener plus profondément dans ce cadre naturel. Sur les deux côtés de la route, il y a des arbres aux branches dépouillées, suggérant qu'il pourrait être l'automne ou l'hiver. Le sol est recouvert de feuilles mortes, ajoutant un touche de couleur saisonnière à la scène. Il n'y a aucun texte visible sur l'image. Il était une matinée automnale fraîche, ce genre de journée qui te faisait vouloir envelopper tes bras et respirer profondément, sentant l'air frais remplir ton thorax. Le soleil venait d'émerger au-dessus de l'horizon, projetant une lumière orange chaude sur la scène paisible des forêts. Lena se tenait à la bordure des bois, les yeux fixés sur le chemin qui s'enfonçait dans la verdure. Elle sentait un attrait inexplicable, comme si les arbres l'appelaient à venir plus près. Ses bottes craquaient doucement sous les feuilles mortes qui recouvraient le sol, libérant l'odeur terreuse de terre sèche et de feuilles mortes. En marchant le long du chemin, la silence enveloppait sa personnalité comme une toge, étouffant tout sonour excepte le bruit des feuilles sous ses pieds. Les arbres s'élevaient au-dessus d'elle, leurs branches nues tracées contre le ciel comme les doigts osseux tendus en accolade, leurs membres étendus comme s'ils la saluaient. Le regard de Lena se portait vers le centre du clearing, où un groupe de cerfs se tenait debout, leurs têtes dressées et leurs yeux fixés sur quelque chose au-delà de l'horizon. Les cornes majestueuses et solides semblaient atteindre les cieux, et leur calme mélange était contagieux. Elle ressentait son épaule se relaxer, sa respiration ralentir, en la regardant. Les cerfs étaient debout dans le parfait synchronisme, chacun imitant le mouvement des autres, leurs oreilles dressées comme s'ils écoutaient une appellation lointaine. Lena sentait qu'ils attendaient quelque chose, les observant avec patience et vigilance égales qu'elle se tenait là, figée dans le temps. Lorsqu'elle approchait davantage, le chemin commençait à s'enfoncer et à se retourner, la conduit plus profondément au cœur des forêts. L'air devint frais, rempli de l'odeur de terre humide et de mousse, et le bruit des feuilles sous ses pieds devint plus fort. Elle ressentait le monde ralentissant autour d'elle, comme si les arbres eux-mêmes respiraient en harmonie avec son propre rythme cardiaque. Lena continua à marcher sur la piste, perdue dans la sérénité des forêts, ses sens augmentés par le silence qui l'entourait. Les cerfs restaient au centre de sa vision, leur calme présence un rappel pour respirer profondément et ralentir son rythme cardiaque. Lorsqu'elle marchait, les arbres semblaient se refermer autour d'elle, formant une barrière protectrice qui l'isolait du monde au-delà. Les forêts étaient vives de secrets, murmures et connaissances anciennes, mais Lena ressentait aucun d'entre eux la pesanteur comme elle marchait à travers ce scène paisible. Elle se sentait libre, débarrassée des soucis ou des craintes, son esprit s'élevant comme les cornes majestueuses des cerfs, qui atteignaient le ciel en harmonie parfaite avec la nature elle-même. Et ainsi, avec chaque pas, Lena disparait dans le cœur de la forêt, devenant un avec ses rythmes anciens et sa beauté éternelle. Le monde autour d'elle dissolvait, laissant seuls le doux craquement des feuilles, les murmures silencieux des arbres et la présence calme des cerfs, qui l'observaient en attendant elle marchait plus profondément dans ce royaume enchanté.