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Le paysage côtier. Il y a un corps d'eau avec une vue claire vers le fond où l'on peut voir des rochers et de la sable, ce qui pourrait indiquer qu'il s'agit d'un lagune ou d'une mer peu profonde. À côté de l'eau, il y a une rive rocheuse visible aux bassins de marée. Une petite zone de plage est située à gauche, avec quelques blocs de basalte scatérés. Le littoral paraît rugueux et naturel, avec aucune trace d'activité humaine au-delà d'une seule personne visible à l'horizon, qui semble être impliquée dans une activité extérieure. La vegetation environnante est pobre, avec juste quelques taches de plantes vertes sur les rochers. Au-dessus, le ciel est clair, ce qui suggère un jour ensoleillé. Il n'y a aucune visible écriture ou marques distinctives qui pourraient fournir un contexte supplémentaire sur la localisation ou la signification de cette scène. La plage s'étendait comme un tapis de bleus et de verts à l'horizon, jusqu'à ce que l'œil ne puisse plus voir. Le corps d'eau, une petite mer ou lagune, scintilla dans la lumière claire du soleil, son surface reflétant les couleurs vives des rochers et de la sable au-dessous. Un petit bloc de roche émergeait du rivage, créant un barrage naturel entre les eaux calmes et la rive rocheuse. Les pools de marée étaient dispersés sur les rochers comme de petites fenêtres dans un monde sous-marin. Les créatures s'agitaient à leur sein, sans être conscientes du observateur humain debout au bord de l'eau. Une petite zone de plage à gauche était recouverte d'un peu de blocs de roche, certains desquels étaient couverts de patches de plantes vertes qui prenaient tenue sur les visages de rocher. Lorsque je marchais le long du rivage, le son rythme des vagues contre les roches m'accompagnait. L'air était empuanti de l'odeur du sel et des cris des galets volant au-dessus. Je me sentais vivant, connecté à la nature dans un sens qui semblait presque primitives. À la distance, une silhouette se tenait sur le rivage, seemingment impassible à mon présence. C'était difficile de déterminer ce qu'elle faisait, mais elle semblait faire quelque chose d'extérieur – peut-être pêcher ou simplement admirer la vue. La silhouette se fondait parfaitement dans le paysage, comme si elle avait été là depuis des années. Lorsque j'ai continué à marcher le long du rivage, je me suis aperçu de quelques détails qui m'ont attiré l'attention. Un groupe de galets s'est envolé pour scavenger dans l'une des pools de marée, leurs cris remplissant l'air. Les rochers eux-mêmes étaient recouverts d'anémones et de moules, preuve de la riche écosystème marine de la zone. La vegetation environnante était épaisse, avec seulement quelques patches de verdure s'accrochant aux parois rocheuses. Le ciel au-dessus était bleu brillant, avec juste une touche de nuages flottants qui défilaient doucement à travers lui. C'était comme si la nature avait retenue sa respiration, attendante d'un signe de vie ou d'activité. Malgré la serenité du paysage, je n'ai pas pu faire montre un sentiment qui me faisait penser que quelque chose n'allait pas. Un sentiment d'inconfort s'est installé dans mon ventre, comme une écho dans le vent. Mais chaque fois que j'essayais de me concentrer dessus, la distraction s'est dissipée et était remplacée par les sons apaisants des vagues et les cris des galets. Je continuai à marcher le long du rivage, perdu dans le rythme de l'océan et le solitude du paysage. La silhouette à distance demeurait visible, mais son activité semblait avoir cesse, me laissant avec plus de questions que d'réponses. Qu'est-ce qu'elle faisait là-bas ? Pourquoi je sentais un sentiment d'inconfort ? Alors que j'étais debout, les vagues continuaient à laver le rivage et les galets volaient au-dessus du ciel, leurs cris échoant dans la stillness. C'était comme si le temps lui-même s'était arrêté et que tout ce qui restait était l'immense étendue de la mer, la rive rocheuse et la silhouette solitaire à distance – une mise en scène menaçante du mystère qui se trouvait caché sous les surfaces.