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L'horizon s'étend dans un paysage désert vaste et aride. En avant-plan, la végétation est rare et le terrain est plat avec des formations rocheuses dispersées sur son surface. Le milieu de l'image présente une paysage plus rocheux menant à une rangée de montagnes en arrière-plan, éclairées par le soleil couchant ou la naissance du jour. Le ciel au-dessus a un gradient dramatique avec des tons chauds près de l'horizon qui se rafraîchissent vers les couleurs plus froides à mesure que l'on s'éloigne. Il n'y a pas d'écriture visible ni de marques distinctives indiquant une activité humaine. Le style de la photographie suggère qu'elle aurait été prise avec un objectif télé, pour capturer à la fois le avant-plan et le background de la scène, comme en témoigne la courbure des lignes dans l'horizon. Le soleil frappait la vaste et désolée terrain comme un tambourage relentissant, en dessous du pied de sa terre sèche. Le paysage étendu devant Dr. Maria Rodriguez ressemblait à une mer infinie de rochers et de sable, avec quelques oasis scindées pour rompre la monotonie. Elle trébuchait à travers les végétations rares, ses yeux écartés vers l'horizon pour rechercher des signes de vie ou de mort. Elle marchait depuis des heures, le seul bruit étant le doux éclat du gravier sous ses chaussures. L'air était lourd d'une chaleur et de poussière qui rendaient chaque respiration comme un effort. À l'horizon, la géologie rocheuse se levait vers les montagnes dans le fond, leurs sommets entourés d'un halo de lumière dorée à mesure que le soleil descendait vers l'horizon. Maria sentit une fraîcheur d'excitation courir dans ses veines – elle avait passé des années à chercher ce lieu et enfin, elle l'avait trouvé. Elle suivit la route serpentine qui menait aux montagnes, ses chaussures levant des nuages de poussière avec chaque pas. Plus haut, l'air devint plus frais et le silence devint presque palpable. Maria sentit une paix l'envelopper, comme si elle était enfin chez elle. Lorsque le soleil descendit sous la ligne d'horizon, en laissant derrière lui une lumière orange chaude, Maria atteignit la crête de la colline. Elle y resta un moment, prenant des profondes inspirations avant le paysage. Les montagnes s'étendaient à l'infini à l'avant-verre, leurs sommets s'estompant dans les nuages comme des géants d'une autre terre. Maria inspira profondément, sentant l'air frais remplir ses poumons. Elle ferma les yeux et laissa le silence l'envelopper, en écoutant pour tout signe de vie dans ce paysage désert. Et puis, elle entendit – un bruit faible dans les buissons, suivie d'un cri lointain du loup. Elle ouvrit les yeux pour voir une figure debout à côté d'elle sur la colline, silhouettée contre les couleurs vives du coucher de soleil. Le cœur de Maria fit un saut dans l'estomac lorsqu'elle comprit qu'elle ne était pas seule dans ce paysage vaste et désertique. Qui êtes-vous? La question sortit de ses lèvres à un murmure, presque perdu dans le silence. L'homme tourna la tête vers elle, son visage éclairé par la lumière faiblissante. Pendant un moment, ils se tenaient là, emmêlé entre eux. Et puis, il fit une phrase basse et rugueuse, comme le bruit des roches qui tombent sous les pieds. J'ai attendu votre arrivée, dit-il en pointant vers son cahier de recherches. Vous cherchez quelque chose, je pense. Maria sourit, sentant un merveilleux se répandre en elle. Je cherche des réponses, répondit-elle, ses yeux coincés sur la figure qui lui était face à face. Et je crois que j'ai trouvé.