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Dans l'image, je vois un groupe de chèvres debout ensemble sur ce qui ressemble à une pente de montagne couverte de neige. Ils sont regroupés étroitement les uns des autres et semblent manger ou se reposer dans la neige. Le paysage entourant est rugueux avec un sol couvert de neige, et le ciel est clair au-dessus. À l'horizon, il y a un autre groupe de chèvres qui ressemblent plus petits en raison du perspective. Il n'y a pas d'écrits visibles ou de signes dans l'image, et c'est juste une scène naturelle qui capture un moment de ces animaux dans leur environnement. C'était une matinée d'hiver crisp dans le village montagneux d'Azura, creuxement entouré par les sommets glacés des Carpathies. Les habitants avaient depuis longtemps pris leur place dans leurs chaleurs accueillantes, entourés de cheminées chaudes et de thé chauds, tandis qu'ils planifaient leur journée. Mais entre la paix tranquille du paysage, un groupe de caprins se tenait au bord du village, regardant vers le paysage rocailleux avec une curiosité évidente. Ils formaient une petite troupe élue pour leur agilité et leur sureté sur les chemins escarpés des montagnes. Le propriétaire de la troupe, un ancien berger nommé Gheorghe, les avait conduit à ce point le matin, en quête d'un abri contre le vent aigu. Alors qu'il vérifiait le prévision météo sur son téléphone – soleil clair mais températures qui tombaient – il ne pouvait s'empêcher de se sentir émerveillé par la scène majestueuse qui se déroulait devant lui. Le sol enneigé brillait comme du cuir poli dans la faible lumière, et les caprins semblaient fondre dans leur environnement. Une brebis particulièrement aventurière, nommée Luna, s'éloigna légèrement de ses compères, ses oreilles dressées tout en sniffant l'air. Gheorghe se mit à rire pour lui-même, sachant que Luna était toujours une petite délinquante. Elle chasserait après n'importe quelle floconne de neige ou investiguerait chaque trou recursif, ce qui faisait du plaisir aux autres caprins. Alors que Luna continuait son exploration, le reste de la troupe restait serré ensemble, en un groupe compact comme s'ils partageaient le chaleur corporelle. Ils se tenaient avec les têtes légèrement penchées vers l'avant, leurs narines écarquillées et leurs oreilles pressées contre leurs tempes, écoutant attentivement tout signe de prédateurs ou dangers potentiels. À distance, Gheorghe aperçut un autre groupe de caprins qui mâchent sur une pente voisine. C'était une troupe plus jeune, avec des cornes moins grandes et un air curieux. Elles semblaient grandir plus vite que le groupe de Luna, ce qui faisait sourire Gheorghe en les regardant jouer et faire du sport dans la neige. Il savait que ces jeunes caprins devaient un jour être forts enough pour affronter les chemins montagneux seuls et Gheorghe ne pouvait pas s'empêcher de ressentir de l'orgueil en sachant que son troupe était transmise de génération en génération. Alors qu'il regardait le paysage escarpé qui se déroulait devant lui, Gheorghe se sentit reconnaissant pour ce vieil vie, entouré de la beauté de la nature et de ces créatures magnifiques. Luna s'éloigna vers ses amis, secouant les flocons de neige de sa fourrure et s'approchant doucement des autres avec un soupir de contentement. Le groupe se comprima à nouveau, leurs souffles collectifs visibles dans l'air froide en ce silence du monde entier.