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Une fenêtre en verre coloré présentant quatre panneaux. Chaque panneau montre une figure, qui pourrait représenter un saint ou un personnage mythique. De gauche à droite : 1. Un panneau avec une figure guerrière, représentée dans une pose dynamique, tenant une bouclier et une épée. 2. Le panneau central présente une figure angélique, calme et aigle, tenant un lys ou une fleur de lotus. 3. Sur le droit, il y a à nouveau une figure avec des ailes, mais celle-ci tient ce qui semble être un calice et un pain, suggérant un contexte religieux ou spirituel, possible représentation de l'Eucharistie dans la tradition chrétienne. 4. Le panneau à droite montre une figure angélique tenant un rouleau ou un livre, souvent symbolisant le savoir, la sagesse ou les écritures sacrées. Chaque figure est entourée de motifs et de formes complexes typiques des fenêtres en verre coloré, ce qui ajoute à l'esthétique globale et à la signification spirituelle de l'image. Les couleurs utilisées sont vives et riches, créant un effet de profondeur et de dimension. Au cœur de la ville médiévale d'Ashwood se tenait la magnifique Cathédrale Saint-Elwes, ses vitraux colorés témoignaient de l'expertise des artisans qui les avaient créés siècles auparavant. Parmi ces chefs-d'œuvre, il y avait un panneau particulièrement impressionnant, composé de quatre panneaux qui racontaient l'histoire de la foi, de la sagesse et du salut. Le panneau gauche représentait un guerrier, vêtu d'armure brillante et tenant haut son écu emblazonné de symbole de son ordre. Son épée scintillait dans la lumière, comme si elle était prête à frapper n'importe qui qui osait s'opposer à lui. Malgré son apparence menaçante, il y avait une atmosphère d'élégance silencieuse autour de lui, un sentiment qu'il avait consacré sa vie à une cause supérieure. Au droit du panneau guerrier se tenait la figure angélique du centre. Elle était calme et paisible, ses ailes s'étalant comme des pétales délicates au moment où elle tenait dans la main un lys et une fleur de lotus. Les motifs fines gravés dans le verre semblaient briller d'une lumière éthérée, comme si l'essence du ciel avait été distillée dans ce moment. Le panneau sur le droit représentait une autre figure identique à la femme angélique du centre, mais tenant au lieu un calice et une hostie. C'était l'emblème de la Eucharistie et parlait de l'histoire longue d'Ashwood vers les enseignements de Jésus-Christ. Les couleurs utilisées ici étaient riches et vibrantes comme le vin qui coulait dans la coupe, et semblaient pulser une lumière intérieure. Enfin, sur le dernier panneau du droit se tenait une figure qui tenait non seulement un rôle ou un livre mais aussi les mots mêmes des écritures. C'était le gardien du savoir, le garde de la sagesse et il émettait une aura d'autorité ancienne au moment où il regardait le spectateur. Les motifs gravés dans ce verre semblaient se déplacer et se tendre comme des serpents vivants,tenant des secrets et des mystères qui ne pouvaient être résolus que par les plus devots savants. Lorsque l'on se tenait devant cette fenêtre de verre magnifique, il était impossible de ne pas ressentir un sentiment d'admiration à la grande échelle de sa beauté et de son importance. Chaque panneau semblait vibrer avec les autres, formant une harmonie entière qui dépassait la somme de ses parties. Et pourtant, chaque figure restait distincte, racontant son propre récit unique de foi, d'espérance et de salut. Il était dit que le soir calme, lorsque les torches du catédral étaient allumées et le soleil se couchait sur Ashwood, les figures dans cette fenêtre de verre venaient à vie. Le guerrier leverait à nouveau son épée, tandis que la femme angélique étendait ses ailes et prenait en vol. Et le figure tenant un calice élevait-le vers une geste de vénération, invitant tous qui l'avaient vue à partager les mystères sacrés. Pour ce gardien du savoir, il restait immobile, mais ses yeux semblaient briller d'une lumière intérieure au moment où il lisait des rôles dans sa main. Car le soir où le monde en dehors reculait et seul le chant doux de l'orgue du catédrail remplissait l'air, il révélait des secrets à ceux qui étaient prêts à les écouter