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Une jeune femme se tient debout dans une gare, ses bras dressés avec grâce au-dessus de la tête. Elle porte un tutu rose et sa cheveux sont coiffés à mi-entête, mi-en bas. Le plan d'arrière révèle un quai éclairé faiblement, avec un wagon de métro, les fenêtres duquel reflètent la lumière environnante. L'artiste utilise une palette colorée et des pincements expressifs pour donner l'image une nature peinture caractérisée. C'était une soirée de printemps, et le train se rassourdit, rempli de personnes qui hâtuent pour prendre leur train, mais parmi la fureur, un personnage se démarquait : une jeune femme nommée Luna qui semblait boire de l'air invisible à partir d'un gobelet de café. Ses bras étaient élevés au-dessus de sa tête, les palmares vers le ciel et son tutu rose flottant dans le léger vent. Sa cheveux longs étaient en mèche, avec des points libres qui formaient son visage triangulaire parfaits. Elle ressemblait à une danseuse de ballet qui était sortie d'un rêve de ballerine. Lorsque respirait l'air frais, Luna se sentait libre au point où le monde ralentissait et n'était qu'en ce moment qui comptait. La plateforme éclairée à la faible luminosité avec ses bancs serrés et les lumières fluorescentes faiblement brillantes semblaient s'estomper derrière elle, perdue dans ses pensées. Brusquement un train de métro arriva sur la plateforme, son verre reflétant la douce éclairage de la station comme une kaleidoscope de couleurs. Les yeux de Luna suivirent la courbe du toit du train où une fenêtre unique était encadrée par une délicate peinture d'une fleur artistiquement peinte. Les teintes vives et les traits expressifs semblaient danser sur le verre, comme si l'essence de bonheur avait été capturé dans ce seul instant. Sans réfléchir, Luna fit un pas à travers les nuages, son tutu rose frémissant doucement contre ses jambes. Elle tendit la main et hésita pendant juste une fraction de seconde avant de frapper sur le verre du train de métro. Les portes s'ouvrirent avec un souffle doux révélant une intérieur vaste qui semblait étendre à l'infini. Lorsque Luna se dirigea vers l'inconnu, elle sentit une excitation qui courba dans ses veines. Elle allait commencer un voyage qui la menacerait à des lieux merveilleux et inexplorés où les limites de la réalité et de la fantasy s'effacent comme la marge d'une peinture au watercolor. Le métro glissa doucement le long des rails, ses pas résonnant sur les murs, Luna disparut dans le tunnel. Et bien que le monde extérieur semblait s'estomper, elle savait qu'en ce moment tout était possible - car dans le monde du rêve où les couleurs étaient plus vives et la magie était réalité, Luna a trouvé sa place.