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Une personne marchant sur un terrain sablonneux avec des dunes de sable à l'arrière-plan. L'individuelle porte peut-être une coiffe traditionnelle et une longue robe qui se déroule derrière elle tandis qu'elle bouge. Elle tourne son visage vers le spectateur, mais le camera capture son dos et sa poitrine. À l'horizon, il y a un élément architectural reconnaissable qui ressemble à des minarets, ce qui suggère que la localisation pourrait être dans une région avec architecture islamique, peut-être en Afrique du Nord ou au Moyen-Orient. Le ciel est clair, ce qui indique qu'il pourrait être soit matin tardif, soit soir tardif, compte tenu de la lumière douce. Le soleil frappait l'arrière de Amira tandis qu'elle marchait, ses pieds s'enfonçaient dans le sable chaude qui l'entourait. Elle portait une longue robe blanche qui semblait briller dans la lumière douce du lever du soleil. Un écharpe était passée autour de son cou d'une manière décontractée, créant une ombre douce sur son visage. Lorsqu'elle parcourut les dunes infinies, le vent fouettait ses cheveux, apportant avec lui l'odeur sucrée des acaciaques et la légère amertume des épices à distance. Le sable tournoyait autour de ses genoux, créant des petits diables dans la lumière du soleil qui dansaient devant ses pieds. Le regard d'Amira se fixait sur l'horizon, où le bord entre terre et ciel semblait se désintegrier. À l'horizon, un groupe de minarets s'élevait comme des éclats de verre du sol désertique. Elle les connaissait bien – l'ancien mosque de sa village, ses minarets fins s'étendant vers le ciel comme des bras tendus. Lorsqu'elle marchait, la lumière commençait à changer et faisait apparaître des ombres longues sur le sable et mettait en évidence les motifs intriqués gravés dans le visage d'Amira. Ses traits semblaient être sculptés de même matériau que les minarets, solides et impérieux. Les pensées d'Amira étaient à des milliers de miles d'ici, perdues dans l'hypoténuse du récit qui hantait ses heures de veille. Elle pensa à sa famille, à son enfance passée à jouer entre les dunes et à entendre les histoires des anciens. Elle pensa aux guerres, au déplacement et à la perte – mais aussi de la résilience, des manières dont ses gens avaient adapté et survécu. Lorsqu'elle gravissait plus haut la dune, Amira sentit le vent frapper son égard comme un caressant doux. Elle éclata dans une rire en tout bonheur, sentant les sables glisser sur ses épaules, et sachant que pour ce moment, au moins, tout allait bien avec le monde. Et puis, à l'horizon, elle vit ça – la lueur de l'eau, brillante comme un joyau planté dans l'étendue désertique immense. Amira sourit en se tournant vers elle-même, son cœur accélérant d'excitement. Elle savait que l'oasis était juste au-delà de la prochaine dune, ses palmiers ondulant doucement dans le vent. Et comme elle gravissait le sommet, elle sentit un sentiment de venir chez soi, comme si elle marchait à l'intérieur du cœur même de son âme. Le soleil était en train de se coucher maintenant, projetant une lumière chaude sur la vallée comme un bénédiction. Amira savait que ce moment allait rester avec elle pour toujours – un clin d'œil de beauté et de paix dans la vasteur et l'imposante extensivité du désert.