Votre sélection :
La scène est caractérisée par une femme stylisée, vêtue d'un châle blanc, qui regarde vers l'horizon. Ses yeux sont fermés et son profil est visible contre le paysage naturel. Elle arbore un regard contemplatif. Sur le plan de composition, la scène se déroule dans une atmosphère calme, avec des montagnes à l'arrière-plan, recouvertes de neige, et un lac ou un fleuve qui lui est visiblement proche. La lumière est douce et naturelle. Avec le dessin des arbres de chaque côté, la scène acquiert une profondeur supplémentaire. Au-dessus de la femme, un nuage large et flou avec un livre ouvert à sa base semble émaner de lui-même des rayons de lumière qui se déversent en symétrie sur l'horizon, ajoutant une touche magique au paysage. L'ambiance est calme et réfléchie. Le dessin a été donné un aspect artistique avec cette façon de rendre le nuage visible comme source de lumière. La palette des couleurs est dominée par des bleus doux, des verts et des blancs qui contribuent à l'atmosphère ethérée du paysage. Une fois, dans une petite village entouré de deux grandes montagnes, il y avait une jeune femme nommée Aria. Elle était une chasseuse de sagesse, avec un cœur plein de curiosité et un âme qui cherchait la vérité. Cheveux blonds longs cascadaient sur son dos comme un fleuve d'or, et ses yeux scintillaient d'une lumière intérieure presque étrange. Un matin, lorsque le soleil commençait à se lever derrière les montagnes, Aria se dirigea vers le lac paisible sur les environs du village. Elle avait entendu dire que ce était un endroit où l'on pouvait toucher le divin, où la barrière entre les mondes était faible et les réponses étaient cachées dans la brume. Arrivée au lac juste avant l'aube, lorsque le monde était encore plongé dans la douceur de la lumière matinale, Aria se tenait debout et respira profondément, sentant le frais mousse sur sa peau. Elle écoutait les douces ondulations des vagues contre le rivage, et le chant doux des oiseaux qui prenaient le ciel. L'air était rempli d'une sensation de paix et Aria sentit ses inquiétudes et ses craintes s'éloigner. Alors qu'elle se tenait là, un personnage apparaît à distance, marchant vers elle depuis les montagnes. C'était une vieille femme vêtue d'un robe blanche flottante qui semblait scintiller et briller comme la lune. Cheveux longs et argentés, ses yeux brillèrent d'une profonde sagesse. La vieille femme se rapprocha lentement, ses pas silencieux sur le rivage. Lorsqu'elle fut à sa hauteur, Aria pouvait voir que les mains de la vieille femme étaient croisées devant elle, tenir un livre ouvert fait de plumes et de lune. Les pages du livre semblaient scintiller et briller comme si elles contenaient des secrets et des mystères d'une autre vie. Lorsque la vieille femme fut à sa hauteur, elle ouvrit le livre et commença à lire des ses pages. Sa voix était basse et apaisante, comme les douces ondulations des vagues contre le rivage. Elle parlait de sagesse ancienne, de secrets du univers et de magie cachée dans le monde. Aria écouta, fascinée, comme si les mots semblaient l'envahir comme un wave pure de lumière. Elle se sentit attirer par le livre, par les pages qui contenaient des secrets du univers. La voix de la vieille femme était comme un fleuve qui coulait profond et large, transportant Aria dans ses courants vers des lieux qu'elle n'avait jamais rêvés. Lorsque le soleil monta plus haut dans le ciel, éclairant le lac de sa lumière chaude, Aria se sentit enlevée hors de son corps, transportée à un monde au-delà du monde qu'elle connaissait. Elle vit des visions d'anciennes civilisations, de sages qui avaient marché sur la terre avant elle et de mystères cachés sous la surface du monde. La voix de la vieille femme devint plus forte, plus insistante comme si elle l'encouragée à écouter plus profondément, à entendre les secrets cachés dans le livre. Et Aria écouta, fascinée, comme les mots semblaient l'envahir comme un fleuve pure de lumière. Lorsqu'elle finit par émerger de la vision, Aria se trouva debout seule sur le rivage, la vieille femme n'était plus présente. Mais l'air était rempli d'une sensation de magie, de merveille et d'admiration. Elle se sentait changée, transformée par l'expérience, comme si elle avait été donné une vue du monde au-delà de son propre. Lorsqu'elle tourna les yeux pour aller vers le village, Aria remarqua quelque chose qui fit monter son cœur - un nuage épais et mollet flottait au-dessus de sa tête, son centre rempli d'un livre ouvert. Les rayons de lumière sortaient du nuage, illuminant des parties du ciel et créant une sensation de magie ou de divinité. Aria sourit, sentant une sensation de merveille et d'admiration qu'elle n'avait jamais ressentie auparavant. Elle savait qu'elle laisserait cet instant avec elle à toujours, comme un phare dans l'obscurité. Et tandis qu'elle marchait vers le village, entourée des bleus doux, verts et blancs du monde naturel, elle se sentit une paix et une contentement envahir son cœur. Car Aria avait découvert quelque chose de précieux, quelque chose qui se cachait sous la surface du monde.