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Personne avec des cheveux longs tissés en ondulations, qui fume. Elle porte des lunettes de soleil et ses lèvres sont légèrement écartées, dévoilant la cigarette entre elles. Un collier à chouette est visible au cou. Le regard de cette personne est fermé et elle semble regarder vers le haut, peut-être vers la caméra ou un objet invisible. L'arrière-plan est plat et ne fournit aucun contexte ni aucun détail supplémentaire sur la personne ou son environnement. C'était une après-midi pluvieuse lorsqu'Lena entrait dans un petit café à ambiance délicate, éclairé faiblement par les lents feux de la télévision installés sur le mur. Elle venait de recevoir des nouvelles selon lesquelles son dernier exposition d'art avait été annulée à cause de problèmes financiers et se sentait comme si le univers conspirait contre elle.
En attendant sa tourne, elle était saisie par une vague de désespoir qui l'envahit sans cesse. Elle commanda un café dès qu'elle arriva au comptoir et s'assit à la fenêtre, essayant d'échapper à la tristesse extérieure.
Elle sortit un cigarette de son poche et l'alluma, en laissant monter le parfum sucré et acrid dans l'air qui mélangait avec celui des beaux café. Lorsqu'elle inspira, ses yeux se closèrent et elle sembla s'est perdue dans les pensées. Ses longs cheveux retombaient sur sa jambe comme un flot, frappant son visage d'une silhouette de cœur. Une delicate chaîne en perle pénétrait sous sa collar en forme de croissant, brillant à l'éclairage doux. Lena laissait échapper une infime part de ses lèvres, révélant la pointe de la cigarette entre elles.
Malgré le désespoir qui l'envahissait, elle semblait être une image de paix. Ses doigts fines serraient le poignet du cigare et elle expirait lentement, enfinissant un soupir doux. Le fond plat du café disparut de son attention comme si l'univers s'était effacé dans l'obscurité. Elle semblait regarder au-dessus des murs de la petite pièce comme s'elle se dirigée vers quelque chose d'éloigné. Sa âme semblait être en quête d'espoir ou d'une lutte contre elle-même. Le barista, qui ne notait pas l'apprivoise mentale de Lena, sourit et lui dit : Votre café est prêt ! alors qu'elle lui tendait le thermos bouillonnant.
Lena ouvrit lentement un œil en regardant la barrière qui s'était formée entre elle et son esprit. Elle reconnut la salutation du barista, mais ne se soucia pas de revenir à l'existence normale. La cigarette restait pendante de sa bouche comme si le temps avait ralentie. Au fur et à mesure que le vent pluvieux continuait à tomber sur le toit du café, Lena resta en silence, perdue dans ses pensées avec une légère vibration de la mécanique du bar et les bruits apaisants des machine qui l'entouraient comme un miroir silencieux