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Jeune cerf avec des yeux grands et alertes et une mâchoire petite et sombre. Le cerf possède des marques blanches sur son visage et un pelage bruns clairs. Ses oreilles sont pointues vers l'après-haut, et il a l'air de se tenir debout en plein air pendant la journée. Le fond suggère une atmosphère pluvieuse ou ombragée avec aucun caractères distincts qui fournissent un contexte pour le lieu. Dans une dense tapisserie de brindilles et de feuilles, une jeune cerf se tenait immobile, ses grands yeux vigilants scandant les environs. Son petit museau sombre s'agiter pour sentir l'air, en prenant la puanteur du sol humide et des feuilles séchées. Les marques blanches de sa face, en forme de deux croissants, semblaient briller dans la faible lumière du ciel nuageux. Sa robe brune foncée se fondait parfaitement dans les ombres, le rendant presque invisible parmi l'arbusture. Malgré la dissimulation, il y avait quelque chose d'inconfondument vivace chez ce jeune cerf – un sentiment d'énergie et de curiosité qui rendait son simple passage impossible à ignorer. Alors qu'il se tenait garde, les oreilles pointues du cerf se dressaient comme si l'on leur avait donné la parole ; le vent soufflait doucement, faisant ruisseler de faible voix les feuilles et le houle nocturne d'un hibou perçant dans les arbres au-delà de la tapisserie. Le jeune cerf restait immobile, ses yeux fixés sur un point lointain au-delà de l'horizon ; son coeur battait doucement comme s'il aussi écoutait quelque chose – un signal peut-être, ou une avertissement du monde inconnu qui se trouvait à l'autre bout de ce refuge protégé. Et puis, sans préavis, le hibou répéta son houle ; suivi par le doux craquement des feuilles et des branches sous les pieds invisibles. Les oreilles du cerf s'élevèrent vers le bruit, ses yeux balayant les ombres pour chercher un signe de mouvement ou de vie. Un instant sembla que le temps s'était arrêté – le monde avait soupiré en l'attente de ce qui allait suivre. Et puis, avec un roucoulement imperceptible de ses poils, le jeune cerf se retourna et disparut dans la tapisserie, laissant derrière lui une simple écho de sa présence – comme une ombre s'est dissolvant dans la lumière. La forêt retomba dans le silence ; en attendant ce qui allait sortir des ombres – ou peut-être en attendant quelque chose. Le jeune cerf était loin, disparu dans l'inconnu avec un sentiment indubitable qu'il avait observé et écouté tout au long, éveillé et prêt à se précipiter dans action à chaque moment.