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Personne avec des cheveux longs et humides recouvrant son visage. Elle regarde du côté avec ses yeux. La personne présente l'apparence d'être en plein air, comme en témoigne la lumière naturelle et le fond sauvage flou mais ressemblant à la végétation. Il y a une couche de texture qui se superpose partout dans l'image, lui donnant un aspect artistique ou dégradé. Le soleil frappait son vis, chauffant la peau humide qui se trouvait sous ses traits. Kaida se tenait debout avec sa nuque contre un arbre ancien, ses branches griffues enchevêtrées dans une touffée d'arbustes au-dessus de sa tête. Ses longs cheveux trempés tombaient sur son front comme une cascade, cachant ses yeux du regard. Elle déplaçait la tête du côté, les regards fixées sur le sol forestier, où les feuilles craquaient sous l'effort d'animaux inconnus. L'air était chargé de l'odeur de terre humide et de bois pourri, riche en l'élan vital des forêts. Kaida inspirait profondément, sentant une sensation de calme envahir son âme. C'était là son refuge – un endroit où elle pouvait s'échapper aux contraintes de la civilisation et se connecter avec le monde naturel. Alors qu'elle se tenait là, le murmure doux des feuilles dans le vent créait une almostéthique mélodie. Les sons emportés par le vent murmuraient des secrets à Kaida's oreilles, l'attirant plus profondément dans la forêt. Elle sentait un sentiment d'appartenance là-bas, comme si les arbres étaient sa famille, la guidant tout au long de la vie. Les yeux de Kaida restèrent fixés sur le chemin devant eux, ses regards attirés par quelque chose inconnu. Ses pensées retournaient à les visions qu'elle avait vues – des fragments de souvenirs qui ne faisaient pas partie de son propre passé, mais sentaient étrangement familier. Les murmures dans la forêt semblaient parler une langue de leur propre. La langue du cœur de Kaida. Ses doigts balayaient les cheveux enchevêtrés autour de sa figure, cherchant à détecter des fils cachés ou des indices. Elle cherchait quelque chose, bien qu'elle ne sache pas exactement quoi – une filigrane de continuité entre le monde et l'inconscient, peut-être ? Alors qu'elle se tenait là, perdue dans ses pensées, Kaida sentit son essence se fondre avec les arbres anciens et les secrets qu'ils lui murmuraient. La lenteur du camera capturait chaque détail de sa forme énigmatique – le texture de sa peau, les plis doux de ses vêtements, la masse trempée de ses cheveux. L'image était presque trop parfaite, comme si Kaida avait été tirée directement du cadre et jetée dans un monde plus loin. Mais c'est cette imperfection qui donnait à l'image son beauté désespérante, une impression de capturer quelque chose éphémère dans le temps. Lorsque le photographe reculait pour admirer leur travail, il remarquait quelque chose de particulier – la faible silhouette d'une image superposée au fond, comme du pinceau en eau au-dessus de l'huile sur le canvas. C'était presque comme si Kaida avait été superposée à la forêt, ajoutant de la profondeur et de complexité à la scène devant ses yeux. Le relief restait également, dépositant une atmosphère étrange – comme s'il ne s'agissait plus qu'une photo, mais une portale vers un autre monde tout entière.